CR réunion Commission Eau-Assainissement 17 mars 2022

Compte-rendu de la réunion de la Commission Eau-Assainissement

vendredi 17 mars 2022

Présents : Léonore Strauch, Jérémy Steil, Jean-François Pitaval et Jean-Michel Denis

Excusés : Isabelle Cotté, Damien Gris, Mohamed Bouralah

Cette réunion était plus centrée sur les questions d’assainissement. Elle a donné lieu à un point sur la situation globale et actualisée de la commune.

  1. En face de la scierie Andrieu, un trou important est apparu suite aux fortes averses de ces derniers mois, faisant apparaître des sortes de galeries souterraines. Le département a été contacté. Des ingénieurs doivent faire un diagnostic pour des travaux à effectuer prochainement. Il existe pas mal de veines de ce type sur la commune et sur le secteur, liées à la géologie locale. A priori, il semble qu’il ne faille pas reboucher ces veines qui draînent naturellement les terrains et les prairies.
  2. La Communauté de communes a été mise en difficulté suite au recours déposé par la préfète au motif que le nombre de ses habitants ne dépassait pas les 5000 requis par la loi Lenôtre. Le nouveau président de la 4 C a dû négocier un délai qui a permis de rallier trois communes (Selles sur Cérou, Noailles et Loubers) afin de franchir ce cap pour pouvoir maintenir la Communauté de communes du pays cordais et ses services. Mais un problème est vite apparu : l’une de ces trois communes ne bénéficie pas de la compétence “assainissement collectif”. De ce fait, un vote a eu lieu pour définir si oui ou non la 4C dans son ensemble conservait cette même compétence. 4 communes ont voté pour ; les 15 autres se sont prononcées pour l’abandon de cette compétence.Aussi l’assainissement n’est-il plus du ressort de chaque commune mais de la 4C depuis janvier 2022. Pour autant, Vaour continuera à assumer cette compétence autant que faire se peut durant l’année 2022.

La Communauté de communes récupérant cette compétence a aussitôt commandité un état des lieux à un bureau d’étude. Sans doute eût-il été préférable de faire l’inverse…

Il se murmure dans les couloirs de la 4C que l’assainissement pourrait être confié à la SAUR… En sera-t-il de même, à plus ou moins brève échéance, pour l’eau ?

3. Une partie du réseau sur Vaour est vétuste. Il est donc nécessaire d’envisager des travaux. Mais, dans le nouveau contexte, qui va réaliser les devis ? Une délégation de compétences – qui existe déjà pour le domaine scolaire, pourrait être demandée. Cette délégation de compétences ne résoudrait pas tout : un flou existe en effet sur les prérogatives des uns et des autres. Elle ajoute des contraintes et n’empêche pas la perte de maîtrise des projets…Par contre, refuser la délégation de compétences pourrait favoriser la prise en charge de l’assainissement par la SAUR…

4. Le président de la communauté de communes va être invité de manière à ce qu’il se rende compte de la situation sur le terrain. Il s’agira également d’évoquer les problèmes ( prérogatives, subventions, facturations, endettement etc ) et de solliciter des réponses aux nombreuses questions qui se posent.

Concernant l’assainissement, il semble malgré tout que le sujet soit mal engagé pour que la commune « garde la main ». Penne serait tenté d’abandonner cette compétence…

La question de la gestion de l’eau reste, quant à elle, en suspend, même si Rousseyrolles est déjà passé chez la SAUR..

5. Concernant l’eau, l’interconnexion avec Penne va nécessiter une rallonge budgétaire. Les travaux engagés pour la construction des deux châteaux d’eau n’est pas sans « défauts de fabrication »… Un délai est encore nécessaire pour vérifier leur bonne étanchéité.

6. La conduite d’eau qui part approximativement de la gendarmerie et va jusqu’au carrefour d’Alic doit être recalibrée pour permettre une bonne alimentation en eau et un meilleur débit.

7. Le raccordement au réseau d’eau du lieu-dit « La Peyre » à celui de Rousseyrolles (géographiquement plus proche et donc moins coûteux) a été évoqué et est en cours.

8. Des travaux d’adduction d’eau sont par ailleurs envisagés pour la future construction d’un particulier (Douglas), pour le bar associatif « Atmo » et pour un autre particulier (Arnaud) près du Rivatou.

9. La pompe de relevage, ancien système permettant l’alimentation complémentaire en eau en provenance de Roussayrolles quand nécessaire, a été neutralisée, mise hors service pour répondre notamment aux injonctions de l’Agence régionale de la Santé du Tarn.

10. Enfin, une réunion de bilan concernant la commision Eau-Assainissement – au même titre que toutes les commissions, est envisagé dans les semaines à venir.

Le camion Frites et la caravane Tacos sont de retour !

Le printemps arrive et la restauration saisonnière revient à Vaour avec :

  • les mardis soirs : Karine et son camion “en- K à parts”, présente tous les mardis soirs sur la place de l’église dès 18h, à compter du mardi 5 avril.
  • les vendredis soir : la caravane Tacos Locos d’Ayun, avec ses burritos, présente dès maintenant.

 

Chiens divagants – Règles pour bien vivre ensemble

Suite à de nombreuses interpellations lors de plusieurs café citoyens, voici un texte  à l’attention des propriétaires de chiens.

Plusieurs chiens errants sont vus régulièrement sur la commune. Il est rappelé aux habitants qu’il est formellement interdit de laisser ses animaux divaguer sur la voie publique. Nous rappelons également que tout chien doit être tenu en laisse dans l’espace public. 

Un chien en liberté, complètement livré à lui-même, peut traverser la route et se faire renverser. Il est aussi exposé à des blessures provoquées par des promeneurs qui, effrayés de voir un chien arriver vers eux, peuvent s’en prendre à lui… Bref, laisser un chien divaguer, c’est avant tout dangereux pour lui.

C’est aussi dangereux pour les autres. Un chien qui surgit sur la route peut provoquer un accident de la circulation. Aussi gentil qu’il soit, le chien peut, par peur, mordre une personne qui souhaiterait le récupérer, ou un enfant qui s’en approcherait…

Or, tout accident provoqué pas un chien non tenu en laisse engage la responsabilité exclusive de son propriétaire. Ce dernier risque alors des sanctions pénales si les victimes portent plainte et il devra faire fonctionner son assurance responsabilité civile pour indemniser les dommages matériels et/ou corporels causés par son chien à autrui.

Au-delà des risques d’accidents de la voie publique, que l’on encourt à laisser son chien divaguer, le propriétaire peut être sanctionné par une amende pouvant s’élever à 150€ si l’infraction est constatée par Le Maire ou la Gendarmerie.

Sans vouloir en arriver là nous appelons donc au civisme des propriétaires de chiens. En effet des habitants nous interpellent régulièrement sur l’état de certaines rues jonchées de déjections canines, voire même leur propre jardin.

Bien vivre ensemble c’est aussi et surtout faire preuve de respect et de civisme à l’encontre de tous.

Nous comptons sur vous.

Compte-rendu du café citoyens du 5 mars 2022

A télécharger ici : Compte-rendu du café citoyens du 5 mars 2022

 

Compte-rendu du café citoyens du 5 mars 2022

Présents :

– Thierry Vignolles

– Barbara Andrieu

– Laurent Roger

– Damien Gris

– Catherine Baudrouet

– Claire Simon

– Isabelle Tillie

– Gérard Lanoye

– Léonore Strauch

– Christelle Carisetti

– Nathalie Mulet

– Gisèle Andrieu

– Catherine Samuel

– Cathy Grèzes

 

Tour de parole pour se présenter : – Pourquoi vit-on à Vaour ?

– Que voulons-nous pour le village ?

Les points suivants ont été le plus évoqués :

– Changement urbain vers le rural

– Importance des groupes fondateurs de Costo-caoudo et du Muret

– Importance du festival, des associations et de la SICA pour le dynamisme du village

Ce qui semble important :

– Implication dans les associations et les commissions, plus de participation collective

– Brassage de la population entre les néo et les locaux, entre les différentes tranches d’âge

Que manque-t-il à Vaour ?

– Collectiviser encore plus (outils, voiture…)

– Installation de jeunes agriculteurs

– Créer du travail

– Déprivatisation des terres ( la mairie a un projet de régie agricole)

– Accompagner ces jeunes agriculteurs

– Projet sur Fontbonne pour alimenter les cantines en faisant marcher les maraîchers locaux

– Projet d’accueil pour personnes âgées, enfants, personnes en grande précarité. Réussir à créer un lieu mixte.

– Faire venir un médecin

– Faire une étude sur les besoins en transport collectif, créer des lignes de bus fixes.

– Pas assez de participation des habitants : idée de faire du porte à porte. Le prochain café citoyen sera dédié à la communication

Aménagement du village / Circulation dans le village

But : ralentir la circulation

C’est la commission voirie qui est en charge de ce dossier. La DDT est venue la conseiller.

Chaque changement est un casse-tête bureaucratique et demande énormément de temps.

Plusieurs pistes sont étudiées :

– Poser un panneau voie sans issue pour la route d’Azam et du Ribatou

– Poser une chicane ou un ralentisseur (plateau sur-élevé) au niveau de la mairie

– Poser 2 panneaux stop sur la route principale au niveau de l’intersection avec la route de Bélaygue.

– Monter un dossier à la préfecture pour détourner les camions

– Faire un marquage au sol pour rappeler que le centre du village est une zone 30

– Mettre un “coussin berlinois” au niveau du panneau Vaour avant l’école pour sécuriser la sortie de l’école.

– Demander conseil au bureau d’étude “le bruit de la conversation” qui préconise la concertation des habitants

– Demander aussi aux utilisateurs locaux qui ont des poids lourds.

Le budget voirie sera posé en mars.

Le marquage au sol semble être un bon début et est la solution la moins chère.

Le problème de la circulation et du parking des voitures est également évoqué place du coq et de la rue sacourieu.