Catégorie : Général

L’équipe de coordination municipale a l’honneur de vous inviter à participer à la commémoration du 106ème anniversaire de l’Armistice de 1918, lundi 11 novembre 2024 à 11h11 au monument aux Morts de Vaour.
À l’issue de la cérémonie, un pot de l’amitié sera offert par la Municipalité en salle commune.

Vous avez peut-être remarqué qu’un transformateur a été installé au début de la route de Gaillac: la ligne à Haute Tension va être remplacée de la route de Cordes (là où se trouvait la crevasse dans la route) à la rue du Nord jusqu’à la rue du Levant (rue de l’ancienne Poste).

En conséquence de ces travaux :

– La circulation sera alternée à l’entrée du village côté Gaillac (devant le futur poste de transformation) du 21 Octobre au 08 Novembre 2024 de 8h à 17h.

– La RD 33 (Route de Cordes) sera barrée du 04 Novembre au 15 Novembre 2024 (Jour et nuit) avec interdiction de stationner.

– La RD 15 (Entrée village route de Gaillac) sera barrée, avec interdiction de stationner, du carrefour de la RD 33 (route de Cordes) au carrefour de la Rue du Levant du 12 Novembre au 22 Novembre 2024.

Dans les deux cas, la rue du Levant (rue de l’ancienne Poste) pourra être empruntée à nouveau dans les deux sens.

La SPIE s’excuse par avance des désagréments que vont occasionner ces travaux.

A noter que les 4 ormes bicentenaires de l’allée d’arbres du début de la route de Cordes ont été répertoriés dans le Projet du Plan d’Urbanisme et sont en voie d’obtenir le label Arbres Remarquables. La SPIE a été informée de ce fait, et assure être vigilante à ne pas couper de racines. Nous aussi serons très attentionnés et ré-insisterons auprès des entrepreneurs dès le début des travaux.

Retour d’expérience des Rencontres Nationales des listes et communes participatives

Présent.es : Claire D, Boris, Catherine S, Claire S, Zeem, Laurent, Bernard, Damien, Marie-Ange, Léonore, Elise, Nathalie, Ignace, Catherine B, Gérard, Babeth, Marietta, Marie, Tom.

Déroulé du café citoyen :
-Présentation rapide des rencontres en chiffres et en images
-Word café en trois groupes de 6 personnes avec retour d’expérience et discussion.
-retour en séance plénière pour que personne présente puisse partager une pépite, un enseignement, une découverte tirée de ces rencontres.
-recensement des idées de choses à mettre en place d’ici les élections de 2026 et après.
-Espace de parole pour des sujets libres
-1 mot par personne pour définir l’état d’esprit dans lequel elle se trouve après ces rencontres et ce café citoyen.

Présentation power point :

Power point à découvrir sur : https://vaour.fr/wp-content/uploads/2024/10/Vaour_cafe%CC%81-citoyen_07092024_Rencontres-AC.pdf

Voir également le compte-rendu de l’association Actions Communes :
https://www.actionscommunes.org/2024/09/10/retour-sur-les-quatre-jours-des-rencontres-des-listes-et-des-communes-participatives/

Les rencontres se sont déroulées du 22 au 25 aout, plus de 500 personnes étaient inscrites ( c’est 5x plus qu’au dernières rencontres). 260 communes étaient représentées, plus de 45 ateliers ont eu lieux et 7 espaces de Vaour ont été utilisés (Le causse café, la salle commune, la salle des fêtes, la chèvrerie, le stade, la salle voûtée et le théâtre de la commanderie). 2 soirées festives (bal trad le vendredi et concert de cinq oreilles le samedi soir). Les ateliers et conférences était réservés aux personnes inscrites et leur repas était pris en charge

World Café :
Léonore : J’ai participé à 2 ateliers, le premier sur la mobilisation pour les prochaines élections, mais c’est du deuxième, sur l’eau, dont je voudrais vous parler. J’y ai appris des choses importantes notamment sur le futur transfert de la compétence eau aux communautés de communes. Le premier intervenant venait de Bagnolet, là bas ils ont travaillé avec l’agence de l’eau et ont mis en place un tarif intéressant pour l’eau. L’eau est gratuite jusqu’à 60 m3 et l’abonnement est gratuit, malheureusement il ne nous a pas dit comment ils finançaient ce tarif. Ils ont aussi crée un conseil d’administration au sein de leur communauté de commune afin de pouvoir réagir avant que les décisions soient prises et ont ainsi pu garder leur compétence sur l’eau, la même chose pourrait être faite entre Penne et Vaour au sein de la 4C.

Il faisait très chaud et le deuxième intervenant, un zadiste très engagé, nous a fait chanter une chanson sur l’eau, et il s’est mis à pleuvoir, c’était génial ! Il nous a ensuite parlé des bassins versants en nous faisant nous regrouper en fonction du bassin dans lequel on vit (Vaour se trouve dans le bassin versant Garonne-Adour), et nous avons discuté des problématiques rencontrées dans chaque bassin. J’ai appris que la limite de chaleur rejetée dans la Garonne autorisée à la centrale nucléaire de Golfech, qui était de 26°C, a été remontée à 28°, alors que l’ont sait que l’augmentation de la température de l’eau a une grande incidence sur les écosystèmes des rivières.

Remarques du groupe : Par qui sont prises les mesures de températures et selon quel critères ? Y a-t-il des études sur les impacts occasionnés ? Il serait intéressant d’avoir les détails de cette étude.

Il pourrait être intéressant de créer un groupe de réflexion au sein de la 4C au sujet de la compétence eau.

Il est rappelé qu’un groupe existe sur Vaour qui fait un travail de prospective sur la résilience et l’autonomie de la commune en matière notamment d’alimentation, d’eau et d’énergie. Ils sont accompagnés entre autres par le président de la société française de prospective.

Ce groupe se réunira périodiquement au bar asso afin de se faire connaître et proposera un article dans les échos de Vaour quand il sera prêt.

Les rencontres ont permis de découvrir des choses qui ont été faites, et mieux faites qu’à Vaour : c’est inspirant et ce donne des idées.

Les comptes rendus des rencontres sont en cours de création.

Claire S : Je voulais vous parler de la prise de décision à 500 personnes qui s’est déroulée en plusieurs ateliers durant les 3 jours des rencontres. Il y avait un facilitateur qui était là pour nous guider dans ce processus. Au début nous avons chacun noté sur un bout de papier 2 idées de choses à réaliser pour promouvoir la mairie participative. Il fallait que ca soit quelque chose de facile à réaliser, peu coûteux et très visible.

Chacun de nous a ensuite sélectionné une de ses idées puis nous avons formé des groupes d’environ 8 personnes et nous avons choisi une idée dans chaque groupe. Puis les représentants de chaque groupe (1 par groupe) se sont réunis en petits groupes et ont sélectionné une idée. Cette opération a été réalisée plusieurs fois jusqu’à n’avoir plus que 5 idées :

-Faire une chaîne humaine dans le village, installer un photomaton pour que chacun.e puisse faire une photo avec une écharpe de maire, mettre un sous titre « la mairie est à vous » sous les panneaux d’entrée du village, faire un rassemblement d’habitant.es où tout le monde aurait une écharpe de maire, faire un banquet citoyen.

Le lendemain 2 idées on été retenues : le banquet et les sous titres de panneaux. L’assemblée s’est divisée en 2 groupes, chacun défendant une idée, et les personnes changeait de groupe en fonction des arguments exposés. Au final 1 idée a été retenue au consensus : les sous titres sous les panneaux.

J’ai été épatée par cette méthode qui nous a permis de prendre une décision à 500 sans conflit.

Remarques du groupe : Il est ressorti qu’une des deux animatrices de cet atelier cherchait à arriver quelque part et a un peu orienté la prise de décision pour arriver à son choix de départ. Il serait intéressant d’avoir une synthèse de toutes les idées de départ.

En tous cas la démarche était top même si on n’est pas d’accord avec le résultat, les panneaux d’explication étaient très clairs.

Peut être qu’il faudrait ajouter un QR code à coté du sous titre afin d’expliquer ce qu’est une mairie participative.

Il faudra faire attention à ce que le message « la mairie est à vous » ne soit pas mal interprété, des gens pourrait avoir envi de s’approprier le pouvoir.

La méthode proposée  pour prendre une décision à un grand nombre est intéressante. Quant à l’idée de promouvoir les mairies participatives, ne pas se dissimuler que la participation est un long chemin et que nous en sommes actuellement aux premiers pas… et donc cultiver la modestie.

Boris : J’ai participé à 2 ateliers, le premier dont je vais vous parler était sur la concertation avec les vivants autres qu’humains et s’est passé au lac de la cite du lac de Vaour. L’idée était de créer une assemblée avec des représentants de plusieurs espèces afin de prendre une décision sur l’avenir du lac.

Il y a eu une première phase de relaxation, reconnexion avec l’environnement du lac, puis nous nous sommes divisés en petits groupes afin de représenter les grenouilles, les libellules, les saules, le sol, le myriophylle du brésil et les humains. Les habitants de Vaour qui étaient present.es ont été mis directement dans le groupe des humains. L’idée était de se mettre à la place de l’espèce de son groupe et d’essayer d’imaginer ce qu’elle voudrait qu’on fasse de ce lac.

C’était intéressant que chaque espèce soit représentée par plusieurs personnes, il y avait des avis différents au sein de chaque groupe. Je me suis rendu compte que le fait de donner la parole à ceux qui ne l’ont pas se fait déjà dans nos institutions (procureurs de la république, tutelles de personne ne pouvant pas s’exprimer) mais on le fait rarement pour les espèces autres qu’humaine.

J’ai trouvé cet atelier très touchant, ca m’as fais prendre conscience que nous ne nous étions pas assez renseigner sur les différentes espèces. J’entends par là d’avoir une vrai connaissance des autres espèces et pas juste un savoir scientifique surplombant.

L’idée était de répondre à la question : quel doit être l’avenir de ce lac ?

Faut il le laisser redevenir un marais recouvert de végétation ou faut il de l’eau libre ? Je me suis rendu compte qu’en tant qu’humain je trouve que l’eau libre apporte de la beauté, mais c’est une vision purement humaine.

En conclusion il semble nécessaire de ralentir le rythme et de se faire accompagner sur la connaissance de ces milieux. Il est évident que nous manquons de savoir sur ce sujet.

Le deuxième atelier auquel j’ai participé était sur les freins structurels qui bloquent les démarches des mairies, et j’ai découvert qu’il y en avait plein ! Comme par exemple la sacralisation du maire, le pouvoir des communautés de communes.

Remarques du groupe :

Cet atelier était sans doute très ludique et apportait une vision différente sur le vivant. Mais se pose la question : est-il plus important de se mettre “dans la peau” d’une grenouille, d’un arbre ou dans celle d’un être humain dont on ne partage pas les convictions ? Il ne faudrait pas que notre intérêt pour le vivant nous fasse oublier la relation à l’autre et la capacité à se mettre à sa place.

Retour en séance plénière :
Quel enseignement, pépite ou découverte tirée des ces rencontres voudriez vous partager ?

-Je n’apprécie pas le fonctionnement des word café, je préfère les réunions communes ou on s’exprime tous ensembles. Durant les rencontres j’ai appris des choses qu’on pourrait mettre en place à Vaour comme par exemple avoir une bonne animation des réunions, faire une élection sans candidat, ou comme a Poitiers une assemblée décisionnaire ou les habitants ont voté mais pas les élus.

-J’y ai appris la technique du tirage au sort pour intégrer des habitants de tous les horizons aux commissions de la mairie, notamment en se basant sur le cadastre afin que toutes les zones de la commune soient représentées. Cela pourrait être faire pour la commission coordination.

– J’ai beaucoup apprécier le spectacle du vendredi après midi, c’était une façon très visuelle et très touchante de représenter les communes participatives.

-Ces rencontres m’ont donné une idée pour 2026 : élire une délégation qui aurait les pouvoirs du maire.

-J’ai trouvé que l’idée d mettre un sous titre sous les panneaux du village était intéressante, cela permet que les gens qui passent au village se posent la question de ce qu’est une mairie participative. D’ici 2026 il serait intéressant de voir comment avancer dans l’autonomie sur l’eau.

-J’ai trouvé très intéressant la question du sensible autre qu’humain au lac ainsi que la féminisation de la politique.

– J’ai adoré le sketch d’Ignace et Claire, j’ai entendu pleins de gens dire que ca donnais envie d’habiter à Vaour.

-Plusieurs personnes m’ont dis que ca se voyait qu’on avait l’habitude à Vaour d’accueillir des événements avec beaucoup de monde. J’ai beaucoup aimé le fait qu’il y ait une équipe au sein des bénévoles charger de s’occuper du soin que l’on se portait les uns aux autres. Le coté humain était très présent sur ces rencontres.

-Il y avait beaucoup d’empathie pendant ces rencontres, pour moi c’est la base de quelque chose de participatif et collectif.

-L’atelier sur les oppressions systémiques proposé par l’équipe de soin m’a beaucoup marqué, c’était très fort et pleins d’enseignements. Je me suis rendue compte que même si on pense comprendre et faire attention mais il y a toujours apprendre.

-Pendant ces rencontres il y a eu beaucoup de relations tissées avec des inconnu.es, avec de l’écoute, des discussions riches, sans préjugés, cela redonne le moral. Savoir ce qu’il se passe ailleurs donne envie de continuer à s’améliorer.

-Il y a eu beaucoup de rencontres puissantes, les gens de Vaour étais très repérés, j’avais l’impression que pleins de gens savais qui j’étais. C’était bien d’avoir des retours de différentes communes, de se rendre compte que les avancées de Vaour sont importantes. C’est réconfortant car il peut parfois y avoir du découragement au sein de l’équipe municipale. Je me suis rendue compte qu’on agi et qu’il y a des résultats.

-J’ai trouvé sympa l’idée de voir Vaour comme une maison, avec ses différentes pièces, et d’accueillir toutes ces personnes dans notre maison, c’était très chaleureux.

Quelles idées cela donne pour 2026 ?

Dans l’année et demie à venir des espaces vont s’ouvrir pour préparer l’avenir, quelles idées, inspirations ces rencontres vous ont-elles données ?

-Il faut que la mairie participative continue, il ne faut pas lâcher !

-Il serait intéressant de continuer le travail du groupe sur la résilience.

– Un groupe sur l’autonomie alimentaire avait été crée lors de l’assemblée citoyenne d’il y a un an et demi, peut être serait il judicieux que ces deux groupes travaillent en commun.

-Le mot indépendance est peut être préférable au mot résilience.

-On pourrait faire un atelier théâtral pour apprendre à se mettre à la place de l’autre, retrouver notre sens de l’humain.

-Il est nécessaire de connaître et de parler aux habitants qui ne viennent pas aux cafés citoyens ou aux réunions de la mairie. L’idée de faire un grand banquet avec toustes les habitant.es du village pour discuter des problématiques est intéressante.

-Où sont les enfants ? Les jeunes ? Où peuvent-ils s’exprimer ? La mairie est aussi à eux.

-Pour 2026 il faut penser au renouvellement des membres de l’équipe municipale, si certain.es ne se relancent pas dans l’aventure, qui pourra les remplacer ? Il y a besoin de renouveler les mandats, les personnes.

-Il faut préparer le renouvellement, et la transmission, attention à ne pas tomber dans le schéma d’une liste électorale, ce qui est important c’est les idées et projets pour la suite. Il faut s’inspirer des communes participatives des alentours, échanger des connaissances, se soutenir.

Des liens vers des articles de presse sur les rencontres sont disponibles sur Vaour.org.

Espace de parole sur des sujets voulant être portés à l’attention de la commission coordination :
-Pourquoi quand le revêtement de la route est refait dans une rue le gravier n’est pas enlevé ?

-Il faut réfléchir à quoi faire pour l’espace propreté : les dépôts d’encombrants destinés à la déchetterie continuent.

-Que faire contre le problème de pullulation des chats ? Il y a une convention entre la mairie et la SPA.

-Problème du calcaire dans l’eau.

-Problème des tags dans le village.

-Proposer aux habitants de s’équiper de mousseurs et mitigeurs pour économiser de l’eau.

Un mot donné par chaque personne pour définir son état d’esprit :

Affection, partage, rencontres, pédagogie, richesse, espoir, groupe, empathie, transformation, mobilisation.

Les gendarmes de la Brigade des Bastides seront présents à Vaour les deuxièmes jeudis de chaque mois de 9h00 à 11h00, dans le premier bureau à droite, dans l’entrée du bâtiment de la mairie, et ceci, afin d’être au plus proche de la population.
Si vous avez des questions, des informations vous seront données pour vous permettre d’échanger avec eux sans avoir à vous déplacer.

Le projet du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) de la Communauté de Communes du Cordais et du Causse (4C), sera soumis à enquête publique du lundi 30 septembre 2024 à 9h00 au jeudi 31 octobre 2024 à 17h00, soit pendant 32 jours consécutifs.
Le registre dématérialisé sera clos automatiquement le jeudi 31 octobre 2024 à 17h00 précises.

Nous avons déposé dans vos boîtes aux lettres, l’information de la 4C.
Aussi, veuillez notez que :
– Le projet complet PLUI est affiché dans la salle commune (côté gauche du bâtiment de la mairie)
– Vous pouvez être accompagné.es par les professionnelles de France Services pour déposer vos observations dans le registre dématérialisé et/ou consulter le projet sur les ordinateurs de cet espace
– Il vous est possible de rencontrer le commissaire enquêteur dans les permanences des autres villages aussi (pas seulement à Vaour)
– La version papier est consultable lors des permanences

Pendant la durée de l’enquête, vous pourrez émettre vos observations et vos propositions :

– sur le registre dématérialisé (à privilégier dans la mesure du possible) où le dépôt de contributions est possible via le lien suivant à partir du 30 septembre 2024 : https://www.registre-dematerialise.fr/5580
– sur les registres d’enquête publique disponibles au siège de la 4C et dans les 25 mairies des communes membres aux horaires d’ouverture habituels.
– par courrier à l’adresse suivante : M. Le Président de la commission d’enquête du PLUi – Communauté de Communes du Cordais et du Causse – 33 promenade de l’Autan – 81170 Les Cabannes.
– par mail, via l’adresse mail suivante : enquete-publique-5580@registre-dematerialise.fr

Les contributions transmises par courriel et par voie postale, ou renseignées dans les registres d’enquête, seront publiées dans les meilleurs délais sur le registre dématérialisé https://www.registre-dematerialise.fr/5580 et donc visibles par tous.

La commission d’enquête se tiendra également à votre disposition lors des permanences organisées aux jours, lieux et horaires suivants :

Enfin, la commission d’enquête se tiendra aussi à la disposition du public lors de permanences téléphoniques organisées aux jours et horaires suivants :

La prise de rendez-vous pour les permanences physiques et téléphoniques seront possibles dès la publication de l’avis d’enquête publique, via le lien suivant : https://www.registre-dematerialise.fr/5580

Les avis des PPA (Personnes Publiques Associées), de la CDPENAF (Commission Départementale de Protection des Espaces Naturels Agricoles et Forestiers) , de l’Autorité Environnementale, des communes membres, et des communes et EPCI limitrophes, seront joints au dossier d’enquête.
Seront également soumis à enquête publique, l’abrogation des cartes communales du territoire et les propositions de Périmètres Délimités des Abords (PDA) des monuments historiques émises par l’UDAP.

Cette enquête publique conjointe sera encadrée par une commission d’enquête désignée par le Tribunal Administratif de Toulouse, composée des commissaires enquêteurs, Yves JACOPS (Président de la commission d’enquête), Patrick ROUX et Jean-Jacques VIDAL.

L’enquête publique unique porte à la fois sur le projet du PLUi de la 4C, l’abrogation des cartes communales du territoire, et la création des Périmètres Délimités des Abords (PDA).

Le projet d’abrogation des cartes communales concerne 12 communes de la Communauté de Communes du Cordais et du Causse : Milhars, Le Riols, Vindrac-Alayrac, Roussayrolles, Mouzieys-Panens, Saint-Martin-Laguépie, Souel, Saint-Marcel-Campes, Salles, Bournazel, Livers-Cazelles, Vaour.

Le projet de PLUi concerne 22 des 25 communes de la Communauté de Communes du Cordais et du Causse : Bournazel, Cordes sur Ciel, Labarthe-Bleys, Lacapelle-Ségalar, Laparrouquial, Le Riols, Les Cabannes, Livers-Cazelles, Loubers, Marnaves, Milhars, Mouzieys-Panens, Noailles, Penne, Roussayrolles, Salles, Saint-Marcel-Campes, Saint-Martin-Laguépie, Saint-Michel-de-Vax, Souel, Vaour, Vindrac-Alayrac.

Les orientations générales du projet de PLUi sont déclinées sous trois axes dans le Projet d’Aménagement et de Développement Durables :

• Axe 1 : promouvoir l’identité locale du territoire du Cordais et du Causse
• Axe 2 : redynamiser la croissance démographique du Cordais et du Causse
• Axe 3 : optimiser les ressources du Cordais et du Causse.

Le Café citoyens de rentrée sera le samedi 7 septembre à 10h dans la salle commune à la mairie. Ce sera l’occasion de vous partager un peu de ce qui s’est vécu pendant les Rencontres Nationales des listes et des communes participatives, qui se sont déroulées à Vaour du 22 au 25 août dernier.

C’est un mouvement qui prend une grande ampleur, avec plus de 500 personnes présentes et 260 communes représentées (dont 90% de nouvelles et nouveaux). Soit 5 fois plus de participants et participantes qu’aux rencontres précédentes !

Nous sortons de ces rencontres inspirés par l’énergie collective qui s’est dégagée pendant ces 4 jours.

Plus d’infos sur : https://www.actionscommunes.org/2024/08/30/rencontres-nationales-des-listes-et-communes-participatives-la-mairie-est-a-vous-le-mouvement-a-pris-une-grande-ampleur